Dans la peau d'une femme

Catégories : FANTASME TV trans travesti sissy
il y a 10 ans

Résumé en allant acheter des vêtements, un travesti se fait piéger par le vendeur

Cette histoire m'est arrivée la semaine dernière. Comme à chaque fois que ma femme part en séminaire pour son boulot, je me réjouissais de pouvoir changer d'apparence pour adopter celle que personne autour de moi ne connaît. Celle d'un beau mec de 29 ans, à priori hétéro mais qui aime secrètement se transformer en femme.

Depuis plusieurs années, dès lors que me retrouve tout seul pour une soirée ou un week-end, je parcours les grands magasins à la recherche d'un ensemble de lingerie qui ferait de moi la belle salope à laquelle je rêve de ressembler par moments. Ainsi, mon placard secret est rempli de porte-jarretelles de différentes couleurs, de strings en dentelle, de soutien-gorges à balconnets et de bas de toutes sortes. Mais il me manquait encore quelque chose. A peine ma femme dans le train, je me dirigeai donc vers une boutique spécialisée devant laquelle j'avais fantasmé sur une magnifique paire de chaussures à talons aiguilles noires.

Aussi gêné qu'excité, je rentrai dans le magasin pour demander une paire de ces escarpins de taille 42, bien décidé à partir avec. - Il faut les essayer, me dit le vendeur. Sous les yeux d'un autre jeune homme qui venait de rentrer, j'enfilai donc mon pied dans la chaussure pour constater que la taille convenait parfaitement. J'aurais bien entendu du mal à marcher avec ces talons de 12 cm mais mon désir de ressembler à ces salopes qu'on voit dans les films était plus fort que tout.

Une fois arrivé devant chez mon appartement du XVIII arrondissement de Paris avec mon paquet sous le bras et la ferme intention de me travestir sitôt le palier franchi, je fus interpellé par un inconnu.

  • Alors petite salope, tu vas te déguiser en pute, hein ? Je suis certain que tu as un peu de lingerie sexy pour que la panoplie soit complète !

Je reconnus immédiatement le mec du magasin qui apparemment m'avait suivi jusque devant ma porte. J'étais bouche bée, ne sachant pas quoi dire et effrayé à l'idée qu'un voisin avait pu entendre sa réflexion. Je lâchai juste un : "Heu, ouuiii, c'est vrai."

  • Je suis sûr que ta femme n'est pas au courant de tes petits jeux solitaires, dit-il. Le problème c'est que maintenant moi je le suis. Ecoute, je te propose un truc : Attends-moi ce soir vers 10 heures, et si tu me montres tes charmes, je te promets de me taire.

J'étais bouleversé et très excité à la fois. Heureusement, ma femme était absente une semaine. Elle n'en saurait rien. Et heureusement encore, le type était plutôt beau et propre sur lui.

Il était donc plus facile d'accepter le marché qu'il m'avait imposé. J'ai donc attendu 21 h 30 pour sortir mes sous-vêtements. Et, comme convenu, après une bonne douche, j'enfilai mes bas noirs, mon porte-jarretelles, mon slip et mon soutif de la même couleur. Puis ces talons aiguilles de 12 cm qui m'avaient apporté tant de surprises. On sonna à la porte, j'ouvris un peu apeuré et le mec de l'après-midi me lança :

  • Salut, petite pute ! Je me suis permis de venir avec mes copains. Ca ne te dérange pas j'espère ?

En tout, ils étaient quatre : Stéphane, le mec du magasin. Eric, un grand blond d'une trentaine d'années. Alex, un jeune brun avec une barbe de trois jours et Nono, un pédé très efféminé qui apparemment était en couple avec mon inconnu du départ. Je les fis entrer. De toute façon, je n'avais pas la possibilité de refuser. Pas l'envie non plus.

Depuis le temps que je voulais me retrouver entouré de belles bites et être baisé par plusieurs hommes. J'allais être servi ! Perché sur mes talons, je les fis installer sur le canapé en leur proposant un verre.

  • Tu crois qu'on est venu siroter une limonade, coupa Stéphane en déboutonnant son jean ? Maintenant, tu vas te mettre à quatre pattes et nous sucer à tour de rôle.

Nono, sort ta caméra ! Pendant que Nono s'exécutai et alluma la mini-caméra qu'il avait apportée, je fis de même et m'approchai de Stéphane à quatre pattes en protestant tout de même que je ne voulais pas laisser de trace de cette soirée.

  • T'en fais pas salope ! On filme juste pour que tu ais un souvenir de notre rencontre !

Je ne prêtai même pas attention à la réponse car, joignant le geste à la parole, Stéphane sortit de son pantalon une bite magnifique qui se dressait déjà dans ma direction. C'était la première fois que je voyais une autre bite que la mienne bander comme cela. Et, surtout, c'était la première fois que j'étais l'objet du désir d'un homme !

Comme Nono commençait à filmer à l'autre bout du canapé, je jetai un œil sur son objectif qui ne perdait pas une miette de mes réactions. J'étais à quatre pattes sur la moquette devant ces trois hommes qui maintenant étaient nus, tranquillement allongés et la bite à l'air. De ma main droite, je saisis alors le sexe de Stéphane qui avait pris place au milieu et je me décidai en quelques secondes à entamer la première pipe de mon existence.

Jamais je n'aurais cru que mon fantasme se réaliserait. Si on ne m'avait forcé, je crois d'ailleurs qu'il serait toujours resté inassouvi. Pourtant, il était bien devenu réalité. Cette fois, j'avais la grosse bite de Stéphane dans ma bouche et je commençais même à le pomper comme Tabatha Cash avait l'habitude de le faire dans les scènes que je regardais.

Je bandais maintenant comme un taureau sous mon string en dentelle ce qui avait pour effet de le tendre encore un peu plus dans la raie de mes fesses et de m'exciter encore d'avantage. Toujours occupé à sucer Stéphane qui apparemment ne trouvait rien à redire, j'avais désormais la bite d'Eric dans la main et je le branlais langoureusement. C'est alors que, sans que je dise un mot, le jeune Alex dont je ne pouvais m'occuper dû comprendre mes désirs puisqu'il fît le tour et se plaça derrière moi. Sa caméra au poing, Nono fît de même pour filmer mon cul enserré dans mon porte-jarretelles. Je lâchai un instant la queue de Stéphane pour me retourner et apercevoir Alex qui tenait dans sa main un gode blanc tout couvert de gel lubrifiant. A côté de lui, Nono avait en point de mire mes talons aiguilles et il zoomait maintenant sur mon trou du cul qu'Alex avait pris soin de découvrir en écartant mon string.

  • Maintenant nous allons voir si tu sais te comporter en vraie gonzesse, rigola Alex en appliquant le gode sur mon orifice.

Celui-ci s'enfonçait lentement en moi tandis que je repris le sexe rouge de Stéphane en bouche pour lui prodiguer le deuxième acte de ma très prometteuse première fellation. Même si je n'avais jamais touché un homme auparavant, j'avais cependant l'habitude de m'enfiler divers objets entre les fesses pendant mes longues séances de masturbation. Mon cul n'était donc pas surpris de recevoir un gode à la place des légumes que je lui avais proposés jusqu'ici.

Je bandais de plus en plus fort en imaginant la vue que Nono devait avoir sur son écran. Je devinais mon trou qui se dilatait au fur et à mesure qu'Alex m'enfonçait le gode jusqu'à la garde. J'eus à peine le temps de remplacer dans ma bouche la bite de Stéphane contre celle d'Eric qui me réclamait, qu’Alex se mit à frotter son membre sur ma raie. Il avait sans doute jugé que j'étais assez préparé comme ça et il s'apprêtait maintenant à m'enculer pour de vrai.

Aussi hétéro que j'étais jusqu'alors, je n'avais aucune envie de l'arrêter. J'allais enfin savoir ce que peut ressentir une vraie femme. Sa bite était de taille raisonnable et elle n'eût aucun mal à ouvrir mon conduit chaud et humide. Comme il me limait lentement, je ne pus retenir de lancer un " Vas-y, baise-moi. Je veux sentir ta bite me défoncer ", ce qui provoqua un sourire de satisfaction chez Eric et Stéphane que je suçais à tour de rôle.

  • T'inquiète pas, petite garce, on va tous te baiser comme une chienne, dit Stéphane.

Alex fourrait mon cul depuis seulement deux minutes mais l'excitation était trop forte. Sans que je puisse penser à me retenir, je me mis à éjaculer des paquets de foutre dans mon string sous les coups de boutoir de mon baiseur. J'entendais ses râles de plaisir en même temps que ses couilles qui frappaient mon cul.

  • Regardez les mecs, s'écria Eric, cette salope a déjà joui dans sa culotte ! Et dire qu'elle n'est pas au bout de ses peines.

J'avais éjaculé mais je bandais toujours autant. Bien cambré sur mes genoux, je criais, je me mordais les lèvres. Bref, je me sentais femme. Tellement femme que j'eus envie de recevoir la semence d'Alex au fond de moi.

  • Je veux sentir ton plaisir, lui dis-je. Balance ta purée dans mon cul espèce de salaud !

Je n'avais pas terminé ma phrase que de longs jets de sperme chaud jaillissaient dans mes tréfonds. Lorsqu'Alex se retira, je sentis sa jute couler le long de ma raie. Eric se leva et se plaça derrière moi à son tour pour m'administrer un deuxième châtiment. Il me baisa encore plus fort que son prédécesseur et cette fois, sa bite allait et venait bien verticale entre mes fesses rougies par le plaisir et maculées de foutre. Alex me donna sa bite à nettoyer et je me délectai maintenant de la semence d'un homme, ce que je n'aurais jamais cru possible. Pendant dix minutes, je fus baisée à nouveau pendant que Nono me filmait sous tous les angles.

  • Allez, dis que tu es une sale pute à la caméra !

  • Oui, je suis une pute, répétais-je.

  • Tu aimes ça te faire ramoner, hein ?

  • Oh, ouii, j'adore ça.

  • T'es vraiment la plus belle salope que la terre ait portée. On va tous mettre notre queue dans ton cul tu sais ? A toi Stéphane, cette petite en redemande.

J'appréhendais un peu de me faire mettre par Stéphane car son engin était beaucoup plus gros que celui des autres. Le sucer m'avait déjà fait mal à la mâchoire et j'imaginais les dégâts que sa bite pouvait faire dans mon trou du cul. Heureusement, il s'enfonça très lentement dans mon orifice bien dilaté par ses prédécesseurs et la douleur laissa rapidement place à une sensation de plaisir intense. Je connus à cet instant le meilleur orgasme de toute ma vie.

  • Allez salaud, baise-moi, lui disais-je. Défonce mon cul, c'est tout ce que je mérite.

  • Alors prend ça, exulta Stéphane en accélérant le rythme.

Il me bourrait comme une chienne et j'aimais ça, j'en redemandais. En regardant fixement la caméra, j'écartais les fesses avec mes deux mains pour le sentir au plus profond de moi. A un moment, je sentis que Stéphane voulait se retirer pour laisser la place à Eric qui s'impatientait en se branlant. Je le suppliai donc de continuer à me baiser.

  • Non, ne la ressort pas, je t'en prie. C'est trop bon. Je jouis, je veux encore ta bite

  • Il faut en laisser aux copains, rigola Stéphane en me giflant le cul. En plus, je ne vais pas tarder à balancer mon foutre, tu ne préférerais pas le prendre dans ta bouche ?

  • Oh, si je le veux, répondis-je alors qu'Eric avait repris place dans mon cul.

De son côté, Alex qui avait déjà déchargé se saisit de la caméra pour laisser Nono libre de ses mouvements. Il enfonça instinctivement sa bite entre mes lèvres. J'en avais une dans la bouche, une dans le cul et Stéphane continuait à me fesser en me traitant de salope, de pute et d'autre chose que je mourrais d'envie d'entendre. Mais maintenant, je voulais leur foutre dans ma bouche.

  • Venez décharger sur moi, leur intimais-je. Je suis sûr que vous avez du bon sperme à me faire goûter.

  • Attends un peu, ma chérie. D'abord, on va s'assurer que ton petit cul ne reste pas vide.

Eric se retira de mon cul et saisit le gode qui m'avait si bien préparé il y a une heure. Il n'eût aucun mal à le ficher dans mon anus et l'enfonça le plus profond possible. On ne le voyait d'ailleurs presque plus quand Eric remit en place ma culotte en tirant dessus.

  • Comme ça tu ne risques pas de le perdre, s'esclaffa-t-il.

Je me levai donc avec cette tige dure entre les fesses et repris place sur le sol, allongé sur le dos. J'avais maintenant les jambes relevées et écartées. D'une main, je saisis le talon de ma chaussure gauche et de l'autre j'appuyais avec des mouvements de va et vient sous ma bite encore dure afin d'enfoncer le gode un peu plus dans mon anus. Les quatre gars s'agenouillèrent autour de ma tête. Stéphane, Eric et Nono avaient leur bite à la main et sa masturbaient sur mon visage. Alex, lui, tenait la caméra juste au-dessus prêt à enregistrer le bouquet final. Je n'en pouvais plus.

  • Allez-y les gars !

Donnez-moi tout votre foutre ! Le premier à venir fût Stéphane, dans une immense giclée de sperme qui a jaillit au fond de ma gorge et sur mon visage. Pendant que sa queue versait son liquide, je passai ma langue sur mes lèvres pour boire son précieux nectar. J'aimais ça et j'en voulais encore. J'eus à peine le temps d'avaler ce que j'avais en bouche que Nono et Eric éclatèrent au même moment, l'un dans ma bouche l'autre sur ma poitrine. Mon soutien-gorge était recouvert de sperme. J'en avais aussi dans les cheveux, sur les joues et le menton.

Cette vision m'a excité comme jamais. J'aimais le goût de ces hommes et, à ce moment précis, j'aurais souhaité qu'ils furent dix ou vingt pour m'asperger encore et encore. Pendant que je suçais à tour de rôle leurs bites couvertes de sperme, je saisis instinctivement la mienne qui était prête à exploser. Je la sortis de mon string en direction de mon visage. Le gode était toujours dans mon cul et mon sexe cracha son foutre chaud sur tout mon corps. Je reçus deux longs jets dans la bouche à la stupeur des mes hôtes qui n'en croyaient pas leurs yeux de voir quelle salope j'étais. Alex filmait toujours, avec un immense sourire. J'étais encore haletant lorsqu'il arrêta l'enregistrement.

  • C'est dans la boite les gars ! Et je crois bien que c'est le meilleur film qu'on ait réalisé jusqu'ici.

  • T'en fais pas, on te le laisse, me dit Stéphane, mais il faudra nous promettre que nous pourrons venir le voir de temps en temps.

  • OK, mais la prochaine fois, essayez de trouver encore d'autres amis. Six ou sept ce serait encore mieux, dis-je en écartant une dernière fois mon slip pour saisir le gode et entamer un ultime va et vient dans mon anus trempé.

Les quatre hommes le laissèrent là, couvert de foutre sur la moquette. Je mis au moins dix minutes avant de me résoudre à retirer de mon cul en feu le gode qu'ils y avaient placé. Après deux éjaculations, je bandais encore comme un taureau et je recueillais une à une les gouttes de sperme qui maculaient mon corps pour les porter à ma bouche.

Depuis ce jour, je ne suis plus le même. Ma femme ne va pas tarder à rentrer. J'espère qu'elle ne tombera jamais sur ce fameux film que je cache avec ma lingerie. Quant à moi, je le regarde presque tous les jours tellement ça m'excite de voir quelle salope je suis.

Auteur : Gabriel

etre niqué par plusieurs j'adore,mon amie me l'as organisé souvent,elle adorait me voir enculer par ses amants et etre la sissy salope
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